Prise de Bec
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

+2
Opaline
javeline
6 participants

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Sam 26 Fév - 20:25

Mal faire dans la vie, mal s'y prendre, ça existe?

(ptêtre pas confondre avec faire(causer) du mal, ça ça existe)

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Opaline Sam 26 Fév - 20:42

Mm, nous avons tous notre lot d'échecs qui constitue notre expérience de vie, nous permettant de nous améliorer en ne reproduisant pas les mêmes erreurs.

Parfois insatisfait des tâches effectuées, maladroit dans certaines entreprises, on garde un goût amer de ses loupés...
Opaline
Opaline

Nombre de messages : 5738
Date d'inscription : 28/07/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Dim 27 Fév - 19:09

Whou...bouh!...
Ca c'est une surprise!... si il y a qqun que je ne pensais pas voir ici et maintenant dans l'"antre", l'arbre du grand méchant pas beau c'est bien Opa.

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Opaline Dim 27 Fév - 19:21

C'est toi que tu qualifies de "méchant pas beau" ? Sois plus indulgent envers toi, allons ! Je ne sais pas qui tu es et si nous nous croisâmes ou nous croisons "ailleurs" mais après tout, peu me chaut comme toi-même tu t'en tamponnes probablement le coquillard ! Razz

Je réponds aux sujets qui m'intéressent, sans états d'âme particulier, avec détachement selon ma bonne habitude... study
Opaline
Opaline

Nombre de messages : 5738
Date d'inscription : 28/07/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Cerise Dim 27 Fév - 21:05

javeline a écrit:Mal faire dans la vie, mal s'y prendre, ça existe?

(ptêtre pas confondre avec faire(causer) du mal, ça ça existe)

Vu ce que ça te coûte, niveau santé, de tenter une question, Méchant pas beau, Soeur Hise va tenter une réponse :

"Mal faire dans la vie, mal s'y prendre", ça existe oui, d'un point de vue extérieur. Mais, si on fait ce que l'on peut avec les possibilités que l'on a, non. Si on ne peut pas faire autrement, c'est forcément la seule bonne façon pour nous. Dans l'absolu, et en admettant la bonne volonté, on ne peut pas faire "mal", donc. Si j'ai bien compris la question, ce qui n'est pas certain.

Et comme dit Opa, quand les conséquences ne sont pas celles espérées, on peut toujours, après coup, essayer de comprendre pourquoi afin de mieux faire la fois suivante.
Cerise
Cerise

Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 31/10/2010

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Lun 28 Fév - 4:07

Je me suis octroyé la décence de ne pas y réfléchir personnellement; mais en me posant la question c'était du genre...il me semblait que non, et que c'était complexe.

J'ai réalisé involontairement un souhait de Little, j'ai mon vaisseau spatial(spacieux...communiste) rien qu'à moi.Je n'embête que moi ici dans ce post.

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Cerise Lun 28 Fév - 12:31

javeline a écrit:Je me suis octroyé la décence de ne pas y réfléchir personnellement

Oquetroitouadonc.
T'es chez toi.


Wink
Cerise
Cerise

Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 31/10/2010

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Opaline Lun 28 Fév - 12:50

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements 870169 Ahem ! study
Opaline
Opaline

Nombre de messages : 5738
Date d'inscription : 28/07/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Lun 28 Fév - 19:00

Alors!...que me souffle ce jour mon Egoyourte?...

J'ai déjà remporté ce prix haut la main, le Maboule de cristal.

Déjà dire que, "rien à voir avec le sujet", dire que...que je me suis dit ce matin dans ma salle de bain, je me suis dit comme les choses sont plus intéressantes quand elles ont un sens pour nous!Quand on en a trouvé(et non pas cherché) le sens; on se sent puissant.
Trouver sans chercher.Chercher est hystérique, aliénant, décérébrant, préoccupant, déréalisant, éreintant, inutile.Ca ne doit pas être une vie de chercher!...cherche!cherche!...on doit être comme possédé, obsédé...
Chercher augure le fait qu'on ne trouve, ne trouvera jamais.Pourquoi on situe toujours le fait de trouver au bout du fait de chercher?C'est plutôt deux choses totalement différentes, deux mondes, le jour et la nuit.Etrangement, chercher serait souffrir extrêmement, ou ne pas penser.
Dans la vie c'est le sens(la vérité) qui nous mène, nous conduit.Nous existons sans signification, la signification étant la vie même.
Signification sursignification, sursursignification...sans significations les choses sont nulles et grossières, sont perçus par nous(signification primale) mais nous semblent être ridicules, ou caricaturales; c'est par ex l'idée de l'amour en général qui nous blase, et qu'on trouve grossière, ou la sexualité vulgaire, répétitive, lassante.C'est qqfois des films, des choses qui nous paraissent nulles, mal faites à première vue; des incohérences, invraisemblances, un scénario bateau.Ou quand on dit qu'il aurait pu faire qqch de mieux avec tout ce potentiel, que ça aurait dû ête mieux.Le syndrome shutter island(j'ai vu ça hier...nul et...pourquoi pas qqch là-dedans...génial ou ridicule complet), donnie darko, les films de Lynch, tous les films en général.Où sans signification, sursignifications il ne reste qu'un truc plat, mi-figue mi raison(raisin pardon), truffé d'invraisemblances, ridicule de bout en bout, sympa et banal, exagéré.

Chercher est une folie furieuse en marche, un traumatisme, un symptôme.On est entouré de chercheurs...ceux qui cherchent tout le temps et cherchent tout, et ceux qui semblent ne rien chercher du tout; mon voisin n'a jamais eu une pensée philosophique ou profonde de sa vie, et pourtant c'est un chercheur, ça fait de lui un chercheur, il lui est interdit de trouver.Alors chercheur à la base et trouveur à l'arrivée.Jadis je cherchais, maintenant je trouve; c'est l'aphorisme Nietzschéen.A la base tout le monde cherche, cherche, cherche, cherche caninement.Là qu'on s'aperçoit que les scientifiques froidement utopistes sont vulgaires; je sais plus qui disait ça ici mais pourquoi des chercheurs?Et pas des trouveurs?(trouvères, troubadours).
Chercher est la base, la chose la plus basique, vulgaire.Entrre une personne qui dirait"je trouve que..." et une autre qui dirait "je cherche...", c'est quoi le beau, le plus réel?
Tout le monde cherche...à la base, c'est normal, on croit qu'il faut s'adapter, ensuite on grandit(la tête dépasse du capot de la voiture), on doit passer à autre chose.Tu tires ou tu pointes?

"depuis que je suis fatigué de chercher j'ai appris à trouver".

Malade quand il cherche, il va bien quand il oublie(de chercher, il trrouve).

Des trouveurs...face à des chercheurs, des malades, il ne trouveront jamais, se complairont dans la pseudo humilité que stipule le mot "chercheur".
Trouveur versus chercheur.Trouveur, super-rieur au chercheur.
Partout des chercheurs...il faut des lunettes spéciales pour les voir; des consommateurs sans Lendemain.
Chercher....élaborer, s'éloigner...Et son pendant, les croyances(bouches bées) constituées de chercheurs.
Un chercheur est un souffrant.(à jamais...)

Frustrant, jamais assez de sens(de seins...), de vérité, de réalité, on n'a jamais compris assez, et on n'a jamais assez saisi, et on ne sait pas quoi faire de ce qu'on pense avoir saisi.C'est ce que signifie l'art des artistes et le frustrant:"t'y vois ce que tu veux!Tu l'interpètes comme tu peux!".
Vivre c'est signifier.Même sursignifier, sursursignifier....c'est supposé être positif, la façon de voir la vie devrait être différente(plus positive, proche(terrestre), avançante, complexement simple, décomplexée), c'est l'étonnement du nietzschéen, D'un Nietzsche.

Et la signification est gratuite, une exagération; là où l'illusion de vivre c'est vivre; il est évident que la vie est l'illusion de vivre; mais l'illusion de vivre est la vie même.Qui sait vivre?Qui sait en profiter?...comment faire, vivre.C'est quoi.
Tout est vrai, une illusion, une exagération, symboliste.Un tableau, des tableaux.Subjectivisme-objectivisme.
Un illusion, un symbole...le fait semble d'une nature différente, avoir un statut particulier.


Mal faire, mal s'y prendre, ça existe?
Individuellement, non.Individuellement on peut faire du mal, ça oui.Uniquement si on veut bien s'y prendre, et si on veut bien faire on peut mal s'y prendre dans l'oeil torve d'une autrre personne.Le monde où il faut bien faire, savoir bien faire, savoir soi-disant s'y prendre n'est pas le mien.C'est le monde, la sauciété, la mayonnaise qui prend ou tourne mal("comment on fait une mayonnaise"?)Tant qu'il y aura un seul type sur terre pour nous dire coment faire, comment il faut s'y prendre, qui dira"faut pas être con dans la vie!..." eh bien ça fera des délinquants et des psychopathes, ceux qui vont vouloir causer le mal, s'individualiser à mort par vengeance.
Je dis absolument n'importe quoi, hier j'étais vachement inspiré et là...tête vide à ce sujet.




















javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par landord Mar 1 Mar - 12:52

Javeline écrit :

Nous existons sans signification, la signification étant la vie même.

Et si l'humanité - à la différence des merles ou des lapins qui m'environnent - était une des trouvailles de la vie en quête de sens.

Un sens pour n'avoir pas à tâtonner sans cesse, afin de mieux s'adapter et survivre au changement perpétuel.

La vie nous condamne à chercher comment survivre...
Mais on peut refuser le jeu... et mourir.
landord
landord

Nombre de messages : 1367
Localisation : france- 03
Humeur : égale
Date d'inscription : 10/10/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Mer 2 Mar - 20:06

landord a écrit:Javeline écrit :

Nous existons sans signification, la signification étant la vie même.

Et si l'humanité - à la différence des merles ou des lapins qui m'environnent - était une des trouvailles de la vie en quête de sens.

Un sens pour n'avoir pas à tâtonner sans cesse, afin de mieux s'adapter et survivre au changement perpétuel.

La vie nous condamne à chercher comment survivre...
Mais on peut refuser le jeu... et mourir.



Trouvaille de la vie, non; c'est accidentel.Un accident peut être une trouvaille, en effet-); mais de la vie...La vie ne fomente pas-), elle est ce qu'elle peut(est).Elle ne veut pas-); ou alors ça devient très complexe, et on parle de volonté de puissance(jouissance...).
Par contre, ça revient souvent, j'ai souvent songé que les animaux aspiraient à être conscients,échapper à une condition précaire; aspiraient à être surconscients, donc, superconscients; à "crever l'écran".Il y a une conscience initale, primale, comme dormante.Les animaux cherchent, cherchent, cherchent à.C'est sûrement nous qui avons cette impression anthropormorphique, pas d'objectivité(possible ça?) là-dedans.Mais il y a qqch comme ça, le cri animal, son côté importun, "inconscient", irrespectueux; va du singe, en passant par le chien, au diptère nous narguant..bon le chat lui il s'en fout-), l'araignée aussi, comme qqch qui attend chez l'animal, cherche à s'engouffrer, attend l'occasion, qqch de stoïcien, d'hypocrite même.
Donc il y a qqch de ce que tu dis dans ça.On est cet animal à la base; c'est l'idée.
Exactement!Rechercher c'est exister, respirer, c'est inconscient, c'est comme souffrir, souffrir c'est exister, supporter c'est exister, être, naître, n'aître plus.On cherche tout le temps...c'est ll'idée.C'est premier, basique, instinct-); en gros le singe aspire à se...bip...sharon stone par ex.
La Mouche...
Sur, supra, super, vers le haut, atteindre,percer, promotion, privilèges, voir, voir, voir; ces aveugles; il y a qqch de ça.Nous on voit, à cause et grâce.
Bref ça obsède les disjonctés tout ça, fout les jetons aux femmes(le bourdon); enfin pas toutes; pas de caricature.

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Dim 6 Mar - 4:03

La question qu'on peut se poser est peut-on être intelligent?Dire des choses intelligentes(qui éduqueraient un homme intelligent par ex)?Car pour moi des choses intelligentes sont des choses que j'aime et comprends; alors soit c'est un gage de qualité, soit non; et comme par hasard je saurais ce que c'est.Dans la vie(confrontation de notrre existence avec l'autre, avec la vie) soit on est intelligent ou soit on ne l'est pas.Tout le monde se trouve intelligent d'façon.Tout ce que tout le monde dit est forcément intelligent, ensuite ce sont des jugements, des voix extérieures, ce qui est bien, beau, bon, ou con.L'utopie, l'erreur est cette sacralisation de l'Intelligence possible, utopique(la monde devient un simple jugement de valeur, devient un monde), ça bloque tout.Car personne n'a encore jamais été Intelligent.(c croire en un Dieu ça, une Seule Voie, un Vote, un Président)

L'Intelligence, ça n'existe pas-); moi par ex ça ne me gêne d'être comparé à n'importe qui, à un con, et tout, bon sauf venant de la personne que j'aime par ex; je dis toujours que je n'ai pas d'orgueil, pas d'égo.Mentirais-Je?Eh bien non!...Et il y a toujours une réponse à tout.

La question est sommes-nous personnellement parfait ou totalement con et on l'ignorerait?Et on sépare toujours les choses en choses normales et choses malades.Moi j'ai toujours eu l'impression d'instinctivement ne jamais juger, c possible? ça existe?Ou c'est un délire?Juger c'est croire en une l'Intelligence possible.(ça revient à dire...extraterrestre, divine...)

Conclusion-), pour être vraiment intelligent il ne faut pas, plus croire en l'Intelligence.(être croyant serait?...)

Car moi dans la vie j'ai toujours remarqué que quand on me jugeait positivement ouu négativement je ne relevais pas, ça m'amusait, pour moii con et intelligent il y a très peu de différence, un vague sentiment d'appréciation; un con en soi ne peut exister; par ex, aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais jugé qqun con, c'est que je suis intelligent?-), très?LA connerie il me semble que c'est l'idée d'un comportement, d'une action, même d'une agression.On juge ce comportement, cette action...on juge qu'on juge qu'on juge qu'on juge...Croire en l'Itelligence c'est rêver de Juger; même croire en un jugement dernier.

Ce qui me "gêne" c'est qu'on se sente tous, chacun de nous, le plus intelligent, cette physiologie; et si à la rigueur qqs personnes auraientt le malheur de sincèrement ne pas se trouver intelligents, ils seront fascinés, souvent, par l'audace de celui qui se trouve intelligent, au pire tomberont sous sa coupe; par intelligence?Franchement, connerie et intelligence, il n'y aucune différence, ou alors on parle d'autres idées, d'autres mots à travers ces mots.
Dans la vie soit on est con soit on est intelligent; c'est cruel.En tant qu'existant on ne peut que nous juger nous-même.Mais dans la vie...

Il manquerait plus que je sois très intelligent! la honte; je serais là, seul, éternel incompris, comme tlm finalement.Selon moi je suis tout ce que je suis par intelligence; ça fait peur je trrouve; je ne peux pas me tromper, ça n'existe pas, ça ne vous fait pas ça à vous?Rassurez-moi.Je prie pour que ce ne soit pas pathologique.Ce n'est pas l'idée débile d'avoir raison...c'est qu'avoir tort ne peut exister, sauf bien sûr dans un monde de calcul où nous comparons nos calculs.
(à la grande école humaniste de la vie...)
En tout cas il existe 3 choses, l'existence, la vie, le monde(du calcul, du jugement comme valeur...monde comme diminution, ou absence d'attrait envers la vie, vie volontairement tournée en monde, ou accidentellement?).

1, 2, 3(mort, retour à 1 avec le 4)...

Tout est sensé(barbare), c'est le problème pour ceux qui veulent croire à l'Intelligence, au progrès...alors le monde devient calculateur, pour mieux prévenir, infirmer, on s'enferme soi-même dedans.

Je choisis d'être très con(sans ça, ni ça, ni ça, ni ça non plus...) par intelligence basique; sang-froid, intuition androgyne.



javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par landord Dim 6 Mar - 13:39

Javeline écrit :

...c'est qu'avoir tort ne peut exister, sauf bien sûr dans un monde de calcul où nous comparons nos calculs.

Mais nous sommes, la vie est, dans un monde de calcul... Et donc soumis à diverses formes d'intelligences.

Si la définition de l'intelligence est " le discernement des rapports " qui existent entre des éléments, il y a inégalité des intelligences - au niveau de la perception de ces rapports
- au niveau de la bonne interprétation de ces rapports.

Un animal carnivore qui perçoit l'odeur du gibier, devine que le chemin pris par ce gibier conduit en un lieu qui ralentira sa course, et se rend à ce lieu pour capturer sa proie est plus intelligent que son semblable qui malgré sa volonté de capturer n'a pas su rassembler les éléments qui conduisent à un résultat efficace.

Perception des rapports entre des éléments, interprétation efficace par rapport à un plan de décision , tout organisme vivant est soumis à cet exercice.
Quand cela est traité au niveau d'un réseau nerveux complexe mettant en jeu perception, mémoire, plan d'action, on parle d'instinct, ou d'intelligence, si l'on y ajoute un appareillage qui rend conscient du processus.

Tout cela est affaire de définition, mais pour ma part je distingue souvent, pour un même problème à résoudre, des êtres ayant différents niveaux d'intelligence Very Happy
landord
landord

Nombre de messages : 1367
Localisation : france- 03
Humeur : égale
Date d'inscription : 10/10/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Lun 7 Mar - 4:50

Soit on est intelligent, soit non.Personne ne dira que non; et même si ils disaient que non, ça reviendrait au même; on est inexorablement là.
Toi tu parles d'intelligence pragmatique, survivaliste, système d, cqfd.L'adaptation est un mythe calculateur destiné au monde; par ex pour ma part j'ai toujours remarqué que j'étais insubordination, inadaptation, le côté rétif, résistant, quasi enciln à me laisser mourir, mais hypocritement(je suis double, fourbe....).Comme si ça ne m'avait jamais intéressé d'être intelligent, non mais c'est vrai!-)
Une chose est sûre, je ne suis pas hégélien.
La fait que j'existe ne dit pas que j'ai raison d'être comme je suis, mais il nous est impossible d'être autre choee que nous-même; dans ce cas la vie, et surtout le monde sont des lieux où nous sommes et serons toujours hypocrites(positivement).
Je ne sais pas comment dire, on ne peut pas cesser de croire en qui nous sommes et en notre bonne foi malgré tout ce qui nous dirait le contraire, on est obligé de croire en nos propres croyances; progrès, amélioration ne peuvent exister.Mais c'est positif moi quand je dis ça, dans le sens où c'est expliciter, mettre en lumière, presque révéler la vérité.D'ailleurs on vit pour ça...révéler la vérité, être vrai, sincère.On mourra idiot, c'est une évidence.Apprendre des choses c''est s'illusionner, bien sûr que l'idée est "belle", mais c'est s'illusionner.
C'est pour ça que je dis...soit je suis con soit je suis intelligent; mais en même c'est la même chose(sinon faudrait m'exterminer) vu qu'on ne peut pas lutter, être qqun d'autre que soi; d'où que je m'aime fatalement, etc-)
Je suis stoïcien alors!une sorte.Car je ne me laisserai jamais casser le bras.

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par landord Lun 7 Mar - 12:57

Javeline écrit :

Apprendre des choses c''est s'illusionner, bien sûr que l'idée est "belle", mais c'est s'illusionner.

Comment tu comprends cela ?

Si j'apprends à écrire, à marcher, si je découpe une pomme pour décrire la position de ses pépins... en quoi suis-je entrain de m'illusionner ? M'illusionner sur quoi ?
landord
landord

Nombre de messages : 1367
Localisation : france- 03
Humeur : égale
Date d'inscription : 10/10/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Lun 7 Mar - 20:11

Apprendre dans le sens de s'améliorer, même de celui d'être mis au courant de qqch qu'il faudrait savoir pour comprendre et avancer dans la vie.
Par ex je t'écris en cet instant, mais je ne t'apprends rien, ce n'est d'ailleurs pas le but(heureusement); tu le sais très bien que je ne t'apprends, et que plus loin, personne au fond ne t'apprendra qqch; on pourrait t'apprendre quoi que tu ne sais déjà?Après c'est juste du respect...de l'hypocrsie sociale...toutes ces choses ne se disent pas comme dirait Soeur Hise(c plus...excitant comme ça, suggestif, secret).
Et puis t'as aussi, toi Land, besoin de croire qu'il y a qqch à apprendre, à savoir qq part.Par ex l'idée qu'on m'apprenne qqch ne me gêne pas, mais il faudrait vraiment qu'on m'apprenne qqch(on peut m'apprendre l'agriculture par ex, le jardinage, mais cela n'a rien à voir avec le savoir philosophique), je ne vais pas faire semblant qu'on m'apprend qqch alors que ce n'est ppas spéciaalement le cas.Apprendre c'est du respect social, une hypocrisie sociale, ça n'existe pas, cette humilité lorgne du côté de la faiblesse, et d'une sorte de lâcheté ptêtre justement.Avoir tout à apprendre c'est comme se déresponsabiliser personnellement.Passer une vie à se dire quu'on a tout à apprendre, tu imagines?C'est comme passer à côté d'elle, presque volontairement des fois, c'est fantasmer.Les chercheurs(en tout genre) passent à côté de la vie; ensuite il y a toujours l'argument de la recherche dans le domaine de la santé; moi, franchement, j'aime tellement la fatalité(qui n'est pas du fatalisme) que d'avoir un coeur greffé, et d'être soigné de mon hypothétique cancer ne me botte pas particulièrement; si je meurs, je meurs...les chercheurs cherchent à te faire croiire qu'il faut à tout prix continuer, qu'il y a qqch derrière, pllus loin; "ah si je pouvais être encore là en 2050!Par curiosité..."; vivre éternellement, resssusciter quand je veux.

D'ailleurs sur ton idée, autre part, dans un autre post, que la vie se servirait de nous, j'adhère à ça, dans le côté vie après la mort, impossibilité de mourir, il est impossible de mourir puisqu'il est impossible de le concevoir, donc nous sommes traversé par une force qui continue forcément sans nous et avec nous qq part, nous, perso, nous cessons, mais il y a évidemment cette vie qui continue, ce qui nous trraversait continue, sur ce point il est impossible de mourir en soi, c'est quasi une évidence scienntifique-); car mourir est encore et toujours anthropomorphique, genre la fin du monde parce qu'on meurt, genre on est là, conscient dans le noir, à attendre, ou se déplacer, même à souffrir-), on sifflote, on réalise qu'on est mort, on chantonne, on est mort, et on attend....Il est impossible à la vie de mourir, seulement qqs modalités le peuvent.L'idée de fin du monde c'est hilrant, car les gens attendent par-là fin de la vie, genre si je meurs tout meurt; alors que la vraie fin du monde est possible, ç a existe, et c'est ce que veulent plus ou moins inconsciemment tous les révolutionnaires, cesser une façon humaine de faire pour la remplacer par une autre, ou par la vie-même.
Le Monde=le monde humain, celui qu'on peut tuer, on peut agir dessus, c'est le monde de la volonté libre, dans ce monde il est évidentt que la volonté libre existe, elle le constiitue même.
La volonté libre existe, dans le monde, entre humains.Le monde est une vision du monde, une illusion active, une surinterprétation, des couches d'interprétations, sachant qu'il y a la vie avant(2, même la rencontre même), et l'existence(1).Seule, à deux, à trois...c'est toute l'histoire de l''existence-); même le fameux triangle amoureux, c'est ça.L'univers et ses mystères c'est la vie et le monde mêlés.L'univers est l'humain poour nous.Unis-vers comme disait je sais plus qui, et moi.Mais ce que nous louons à trravers les soi-disant mystères de l'univers c'est les mystères de l'humain, de l'humanité, de cette façon si particulière d'être conscient.L'univers est tout le monde; le monde-illusion-erroné rejoint à la fin l'existence, nous-même, l'égo, la puissance qui nous précède et nous dépasse.

Théoriser(thésau...) est absurde, c'est ce que je veux dire, et c'est ce que je n'aime pas dans les intellectualisations, les soi-disant intelligences.On sait tout, on est capable de tout, et à partir du moment où on théorise, voulons théoriser(terroriser presque) on ne sait plus rien; par ex Nietzsche sur ce point a compris l'ambiguité, horrible, on ne ppeut expliquer, améliorer, apprende de qqun, à qqun...sauf dans un monde imaginaire(erroné), sur mesure, dans le monde de la volonté libre.En une seul personne nous sommes facilement 2 personnes, même 3 pour un savant(psychopathe).

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par landord Mar 8 Mar - 13:00

Bien difficile de se faire une philosophie dans tout cela.

Pour moi, je veux bien comprendre qu'apprendre, pour améliorer ou satisfaire son Ego, est assez vain : l'Ego étant une illusion due à l'oubli que chacun n'est que la parcelle d'un tout qui se transforme.

J'ai peut être l'illusion que ce tout se transforme conjointement à l'accroissement de la conscience qu'il a de lui-même, par le savoir qu'il acquiert sur lui-même. Grâce au travail de l'ensemble de ces parties - de par les lois de la vie - ce tout est contraint à savoir plus.

En bref, apprendre peut être illusoire, néamoins je crois que pour tous les êtres, et singulièrement pour les humains, apprendre est un devoir, une obligation.

C'est un axe de vie comme un autre.

Illusion peut-être, mais c'est, de toutes les illusions que je peux imaginer, celle qui me dynamise le plus. Et ne pas dynamiser sa vie, n'est-ce pas miser sur la mort ?
landord
landord

Nombre de messages : 1367
Localisation : france- 03
Humeur : égale
Date d'inscription : 10/10/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Mar 8 Mar - 18:03

Voilà, t'as besoin de cette illusion, tu fantasmes.

Et ne pas dynamiser sa vie, n'est-ce pas miser sur la mort?
Vivre c'est dynamiser sa vie; exister, être seul, c'est être quasi mort.
Mais apprendre...j'avoue ne pas être assez humble pour comprendre cette notion(dans la vie); et ptêtre trop paresseux(dans le monde).Je crois davantage en la création, sorte d'innocence ppossible, de renouvellemment; non, franchement, je n'ai pas besoin qu'on m'apprenne les choses, on s'apprend à soi-même, non?
Par ex je suis nul en agriculture, en jardinagge, en tout ce qui est pratique, et tout, mais si il fallait vraiment...on n'a ppas besoin d'aide, d'apprenddre, apprendre, l'apprentissage est comme un notion sécuritaire, préventive, totalitaire; forcément pour domestiquer; apprendre, éduuquer....c'est avouer qu'on n'a pas confiance en l'autrre, en tous les autrres, même en l'inconnu, l'étranger...le monde on peut le recommmencer à zéro à partir de maintenant, sans pour autant avoir appris des choses, sauf qqs unes, par expérience, c'est ça l'éternel retour, c'est que tout repasse inncessamment par zéro, ou comme disait Pascal "l'humanité c'est une seul homme qui pense; ou même la science(l'humanité) c'est un seul homme qui pense."Adam et Eve, c'est ça.Un seul homme pourrait recommencer l'humanité à partir de lui, et c'est ce qui se passe tous les jours, d'où ce fatras, cettte pulsion avortée par le monde.Nous sommes de pervers(commencés) innocents(recommençants).L'innocentement est poossible.Mais apprendre...il y a qqch qui cloche.Apprendre par soi, d'accord, on est d'accord.Ca ne veut pas diree rejeter touus ce que les autres proposent, leur faire des procès, on peut les lire comme on lit une bd sur la page d'un magasine, ou une étiquettte sur une boîte de céréales-), on est libres; on nous oblige à rien, à rien, c'est l'idée.Apprendre inclut l'idée qu'il faille apprendre, que c'est vital, sacré, important.Comme tu dis, pour notre survie, nous dynamiser.Ai-je besoin d'être dynamisé, moi, créateur?

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Cerise Mer 9 Mar - 20:32

javeline a écrit:Voilà, t'as besoin de cette illusion, tu fantasmes.

Je crois davantage en la création, sorte d'innocence possible, de renouvellement; non, franchement, je n'ai pas besoin qu'on m'apprenne les choses, on s'apprend à soi-même, non?


Sauf qu'on ne "s'apprend" (crée) jamais à partir de rien.

Tu crois que la philosophie de Nietzsche, pour prendre ta référence récurrente, est née du néant ? Qu'il a fait l'économie de l'étude de la philosophie des Anciens ? Qu'il n'a pas lu, étudié, compris les auteurs de son temps ? Que sa propre philosophie de n'appuie pas, en accord, en opposition, en création, sur le travail d'autres penseurs ?

Nietzsche disait lui-même "qu'une vaste culture était nécessaire pour saisir et juger la valeur" de "Par delà-bien et mal". Or, qu'est la culture, si ce n'est transmission, apprentissage ? Apprendre des autres, de ceux qui ont défriché avant nous, n'est pas honteux hein... C'est même cela qui permet de créer justement, de creuser son propre sillon. Même si nous le voulions, repartir incessamment de zéro est tout simplement impossible. Illusion ou fantasme ?

Après, nous pouvons croire que nous avons la science infuse. Que ce que nous lisons, assimilons, n'est qu'une révélation de ce que nous savions déjà, de ce que nous pressentions en quelque sorte. Pourquoi pas. Mais cette rencontre n'est-elle pas un apport et une aide extérieure dans notre cheminement ? Le rapport à l'autre, qu'on le veuille ou non, est (et ce, dès la naissance) source d'apprentissage.

"On s'apprend à soi-même", bien sûr. On s'est tous coltinés nos tables de multiplication à apprendre. Sans pour autant avoir eu à inventer les mathématiques auparavant. Même Einstein a commencé par cet acquis là j'imagine.

Cerise
Cerise

Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 31/10/2010

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Cerise Mer 9 Mar - 20:41

landord a écrit:J'ai peut être l'illusion que ce tout se transforme conjointement à l'accroissement de la conscience qu'il a de lui-même, par le savoir qu'il acquiert sur lui-même. Grâce au travail de l'ensemble de ces parties - de par les lois de la vie - ce tout est contraint à savoir plus.

Je partage la même illusion.
Cerise
Cerise

Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 31/10/2010

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Cerise Mer 9 Mar - 20:46

javeline a écrit: ça n'existe pas, cette humilité lorgne du côté de la faiblesse, et d'une sorte de lâcheté ptêtre justement

Déjà, cette idée de lâcheté, comment savoir ce qu'est la lâcheté ? Razz
Cerise
Cerise

Nombre de messages : 711
Date d'inscription : 31/10/2010

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Jeu 10 Mar - 3:40

D'une sorte de lâcheté ptêtre justement.Des pincettes, et référence à cette idée de courage récurrente ici et en général; alors qu'on ne sait pas ce que c'est.
On veut qu'on nous apprenne des choses si on veut nous-même apprendre des choses aux autrres; ou même rêve de leur apprendre.Je ne veux pas apprendre des choses aux autres, pas faire évoluer, ou sauver le monde; ça va de paire, c'est tout.L'humlité de celui qui apprend veut éduquer les autres, leur apprendre des choses; je dis juste que ça enferme le potentiel qu'est la vie, la philosovie.
Niet ne veut pas expliquer le monde, sinon je n'aurais pas apprécié, je prends le meilleur de lui, ce qu ressemble le plus à mes vérités, mes vérités qui sont les vérités univreselles à force, avec un peu de travail scientifique, très léger-), psychologique.Avec Niet j'ai juste croisé un intellectuel(justement) qui pensait un peu comme moi non-intellectuel; c'est comme un intello réussi Niet, qqun qui a saisi qqch, l'organique, la musique, l'instinct, l'instant, l'innocence, c comme Freud, j'aime bien par ex....Si Niet étaitt opposé à moi je ne l'aimerais pas, si niet était un vain intellectuel je cesserais de l'apprécier; ensuite, évidemment, on interprète tout, interprète Niet à partir de nous; mais la vérité en soi n'existe pas, c'est ce que t'as du mal à accepter.
Je me base sur cette sorte d'instinct qui me dit que dans lla vie il n'y pas à appprendre des choses, qu'il n'y pas de mots de passes; la vérité c'est si on la sent, et si on la sent sincèrement, d'où que nietzschen on ne peut le devenir, on l'est ou pas,(depuis toujours-), même inconsciemment) ça ne s'explique pas; ça ne s'intellectualise pas; c'est une pure ode à la vie, aux intelligences, au fatras, au potentiel, à la puissance; à la confiance en notre être, à l'indépendace d'esprit; je n'ai rien appris de Niet par ex, je l'ai lu par pur plaisir narcissique; et par esprit de distraction, dans le sens où ce que propose les autres, ce qu'ils ont fait, nous fait un peu nous oublier nous-même, nous évader de nous, touut en nous y mêlant, mais quand on lit ce n'est plus nous qui songeons(on est espion, spectateur, voyeur); la zik c'est pareil, ça disrait tout en...(le roi de l'ellipse, fainéant)le reste c'est pareil, l'Autre c'est pareil.C'est s'amuser, c'est être curieux dans ce sens-là de l'Autre, mais apprendre...Je trouve que c'est une drôle d'idée, tout comme l'humilité, on est comme naturellement humble, pas besoin de mettre ça en avant, la reecherche met l'humilité en avant, c'est tautologique; qui a dit le contraire?Qu'on n'étaiit pas humble?Qu'on ne savait rien?..ensuite faut se lancer, passer à autrre chose, être positif, pourquoi pas provoquer aussi; pour moi être prétentieux ou êtrre humble c'ets exactement la même chose, on vit notre vie et cest tout, ça ne change rien à la donne, penser que ça change des choses à la donne c'est être moral, c'est avoir et vouloir un ptit monde bien droit, bien harmonieux où tyrannisé on tyrannise, ou on en rêve, ou l'inverse.Alors que l'harmonie, la sincérité çça commence par toi-même comme on dit, c'est à toi seule de monter l'exemple, de savoir ce que c'est, de montrer ce que c'est, de l'expliciter, de partager l'inconscience avec les autres, de prodiguer disait Niet; d'où l'idée, que dans la vie, à part être sincèrement positif, laudateur, affirmateur, il ne reste pas grand chose, ma science est devenue infuse, y a eu une longue infusion au fil des jours de la vie, des souffrances(de macaque en cage, qui hurle en sourdine, montrre les dents), et tout, on est toujours un tout ptit peu moins con, je suis d'accord, moi je préférerai toujours celui que je serai demain ou dans deux heures àcelui que j'étais hier ou il y a deux heures.
Moi j'aurais envie d'un monde comme ça, apprentissage, quête initiatique, des stades à passer, des happy end; mais mon corps me souffle tout autre chose, je n'y peux rien, c'est malgré moi et tout, je suis moi malgré moi-), j'ai des intuitions, comme tous les types qui ont et on eu des intuitions, et des bonnes ou des mauvaises, c'est une illusion; si les philosophes s'adressent aux philosophes, moi je n'y peux rien, c'est leur problème; moi c'est la philosovie, c'est tout, les vérités.Je ne reve pas de savoir, d'être un bon, ou un grand, je lee suis déjà-), et je n'y peux rien, tu ne peux m'accuser d'avoir mes pensées-), si j'ai mes pensées j'y peux qqch?Drôle d'idée.Tu parles en politicienne là, en trucs sociaux, du monde erroné, du monde de la volonté libre.Je n'ai pas besoin des savoirs pour savoir...toi tu penses, sincèrement, mais sincèrement, que oui?Que tu es aveugle?...
Après, évidemment, je peux comprendre que tu prennes mes discours comme des agressions, attentats; mais moi c pareil, les vénérateurs du monde sont inconsciemment agressifs avec moi aussi.
Je dis pas qu'on est agressifs toi et moi, c'est juste l'idée du mot agresser, agresser comme proposer qqch, vouloir émettre une vérité.Forcément que tout le monde agresse tout le monde ici.On n'est pas très d'accord, mais comme on s'en fout tous au fond, ouf!-)

javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Sam 12 Mar - 3:42

Tout est mémoire.Bergson le signifiant avant moi.

Les savoirs, les prises de consciences, tout est mémoire; trésors.L'intelligence est mémoire.Le poisson rouge serait un des moins intelligents?-)



La longue mémoire des humains entretenue par les écrits; cette longue mémoire-illusion; longue et grande mémoire.Supérieure à toutes les mémoires, toutes les intelligences.La culture, la culture de l'illusion, de la mémoire.Mémoire artificielle, astucieuse, escamotée, par vagues, successions stratifiée.



La pensée ne peut être que sexuelle; je partage ça avec Land; c'est dans son pessimisme("optimisme") scientifique.Cette "schizophrénie", sexe\lucidité.

"C'est parce que nous avons un sexe qu'il nous est malaisé de nous prendre pour des dieux".Et des tas d'aphorismes.

C'est enchevêtré.Alors bouddhas, hégéliens, kantiens, tout ce qui aspire à la pureté, au détachement, la superlucidité, au divin; foutaises si ils le décollent, le détachent du sexe; cette racine, ce théâtre, la châtre.

Mais l'idée de Dieu est tout de même intéressante commme le souligne Little, on y aspire incessamment, l'évoque incessamment, une aspiration au sublime, ça devient un mot labyrinthique, une idée acérée.C'est très vague et très précis au moment précis.Une suggestion, suggestivité; ça dort, potentiel.Dieu est partout, et est un mot précis à un moment précis.Evocations, manifestaions.D'yeux.D'yeux la paire.Grâce à dieu, à cause du sexe.Réconciliation, quetzalcoatl.

Coatl le sexe, quetzal la grâce de Dieu, de cette idée, ce mot, cette chance; d'yeux, d'yeux; eyes, eyes; rampe et vole!Entrée.....sortie réelle, illusion.Qui scinde mal pense que le réel est l'apannage de la cause froide, solide, de la lucidité, de la pierre; alors que sexe rampant...
Tout ça pour dire que tout est enchevêtré, on ne peut vraiment expliquer, sauf savoir scinder; c'est toujours en deux, reconnaître, distinguer.Toujours deux, que deux; deux mondes, une porte, un instant, une transition, un passage.Qui sait le Deux sait le un.C'est tout ou rien, l'intelligence n'est pas morale, sauf le monde peut l'être.


Tout est sortie, à la sortie comme disait...euh...Kierkegaard.Même si ça semble hégélien.




javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par javeline Jeu 17 Mar - 4:05

L'intelligence est un acte.Ne serait-ce que le mot en lui-même, sa prononciation, sa "musique"-) me fait rêver.Un mot est une idée(et inversement).L'intelligence n'est pas morale, est hors du jugement de valeur; qui juge l'intelligence n'est plus dans l'intelligence?Ce n'est pas nier la morale, c'est signifier que c'est différent de l'intelligence; on ne peut sûrement pas mener un monde moralement avec intelligence, l'inteligence est une émotion, un savoir, une illumination(sans le côté grandiloquent)Si on devait dire tout ce qu'on sait, c'est-à-dire tout ce que l'intelligence nous inspire, nous souffle; comment elle nous provoque au hasard!...alors évidemment, ça me débecte de m'exprimer, d'énoncer, de dire, de vouloir faire comprendre, convaincre, éduquer, faire comprendre.Comme tout est intelligent et sensé...ça limite-)
D'où l'inttelligence étant une chose active, un acte; qqch qui agit tout de suite, presque une impro; la culture c'est moral; pour ça que je trrouve (mon humble avis) que de passer sa vie à se cultiver est une perte de temps-); tout comme faire du culturisme, oui; la culture doit suivre l'intelligence, lui succéder, qqfois la précéder pour lui faire place, mais ne pas l'aider; c''est l'intelligence qui doit aider la culture.
Le jugement est une capacité tellement basique, ancrée dans le corps, une sorte de décision, décisivité, de physiologie que je ne comprends plus le fait de juger; c'est le cas de le dire...je suis un type sans jugement-), sans jugeote...juger c'est vivre, ok, c'est l'intelligence même, mais l'extraction se produisant ensuite est morale, tout comme la volonté est vivre, mais l'extraction se faisant ensuite est...la volonté libre, le monde.
C'est ce qui est bien chez Nietzsche, il est difficile de partager notre bon heur, de prodiguer sans faire de la morale, sans éduquer, pervertir, même sans souffrir, travailler, être frustré à jamais.On mourra seul avec nos "fantasmes", nos idées réelles, avortées par un monde erroné, des façons à la con.
Je dis pas qu'il faut le faire, je dis que c'est le problème qu'un Nietzsche rêvait de surmonter, sans pour autant être certain de le vouloir.Ah si tout le monde pouvait être moi!...et puis ensuite, la nana qu'on apprécie, ah si elle pouvaît savoir que je suis intelligent, si elle pouvait l'être aussi, et jouir du fait d'exister!Mais elle ne serait plus elle...l'Autre est un mythe, hors d'un contexte particulier(amoureux), l'autre-intelligent aussi.C'est passionnant, intéressant l'intelligence, mais elle doit être le contraire du fait de se faire mousser-); l'intelligence c'est en faire qqch; je parle pas de construire une cabane, ni d'être débrouillard(c'est moral, car "bien faire, mal faire"); boh et puis merde, c'est ptêtre typiquement masculin l'intelligence(malgré qqs passations de pouvoirs), et l'homme et la femme se rejoignent dans l'amour et la sensualité, le grandiose.
L'intelligence c'est top complexe pour crâner avec.Moi je suis con comme la lune par ex, bas, vil, vil, toutes les horreurs; ça ne peut être que le cri de l'intelligence; c'est ma déduction-).Je ne suis rien, je ne sais rien, c'est le premier cri, le dernier.Tout signifie son contraire, je suis nul...
L'existence et la vie représentent l'intelligence, le potentiel, et le monde signifie la fin, le jugement, le compte-rendu; d'où que la science, l'intelligence, la rigueur des philosophes, la culture à outrrance...sont mortels, gelés, suppots du monde-)
On ne peut rien inventer(sauf dans le monde...); créer par contre est la vie même.
Est-ce que s'en ficher totalement par exemple d'être jugé serait le début de l'intelligence?Et comme par hasard le monde est l'endroit(topie) où l'on est le plus jugé et jugeons le plus, monde moral, des valeurs, des lois.
L'intelligence, la musique sont asociales.L'existence en couple avec la vie, et le monde(les jugements, la morale, huuuum!l'excitation...).
La musique est l'intelligence, l'intelligence la puissance...la philosovie.Zoovie.Sophie...je n'en connais aucune, et pourtant cette sophie est partout, elle est sage, pas moi, me renvoie des images de moi.


javeline

Nombre de messages : 483
Age : 44
Humeur : Toujours bonne universellement
Date d'inscription : 11/01/2011

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Littlewingrunner Jeu 24 Mar - 20:09

Javeline, je te rappelle qu'il faut essayer d'écrire un message un peu construit et non un stream of conscienceness comme disent nos amis anglais. Je dois avouer que tes messages sont longs, ce qui n'est pas un problème en soi, j'en écris des longs également: mais pour les rendre lisibles il faudrait écrire avec des paragraphes, éviter les abréviations, classer par thématique... En gros avoir un raisonnement logique..




Comme ce que je fais là : laisser un blanc typographique, sinon il devient très dur de savoir ou on en est dans un discours. Nietzsche le dit très bien ( Geburt des Trägedie ) : pour qu'un discours soit entendable il faut une force apollinienne pour contenir la force dionysiaque, en d'autres termes des exigences de forme pour permettre au fond d'être intelligible.
Sinon le dialogue n'est que suite de monologue.

Ensuite je voulais revenir sur quelques points : la vérité n'existe pas as tu dit. Certes la Vérité ( à l'antonomase, car il ne s'agit pas de tromper l'adversaire et de parler de vérité empirique, qui sont plus ridicules qu'autre chose, de la vérité vulgaire proche de l'opinion ou d'une vérité de sentiment) appartient à la catégorie des Idées comme Kant l'a définit : un concept qui n'est pas vérifiable empiriquement. Mais là encore l'absence de preuve est-elle preuve de l'absence ? Si tu veux être rigoureux dans une affirmation il faut d'abord avancer par preuve : c'est à dire par réfutation ( selon le critère popperien), si la vérité n'existe pas il faut donc prouver que la vérité ne peut pas exister et sur ce point j'ai de sérieux doutes !
Mais si tu te sens capable de le faire vas y... je t'écoute... Le sentiment en lui même, de même, ne prouve rien: prouver un sentiment... Sachant qu'une preuve doit être universalisable et nécessaire c'est un peu dur.

Je sais ce qu'on peut me répondre : la vérité n'est que subjective alors. Ce qui est en partie acceptable évidemment, on connait tous Pascal, Montaigne, Spinoza, ou encore Diderot ( et sa célèbre lettres sur les aveugles...). Néanmoins rapatrions nous sur la science dans un premier temps : les propositions logiques sous forme pure de sorte que a est tel objet et b tel autre pour que a soit la cause de b, est une vérité universelle : les boules de billard humienne illustre bien cela ( même s'il nie la causalité, ce que Kant reprendra avec brillo ) : a la première boule de billard avance et heurte b la deuxième boule, le mouvement de b est causé par b. La relation de ce mouvement est réduit dans la loi logique énoncée : la vérité de la loi est indéniable.

On peut même aller plus loin en élargissant aux sciences humaines et en prenant comme exemple la méthode historique qui prétend trouver des vérités, même si les historiens ( voir Antoine Prost : Douze leçons sur l'Histoire) admettent volontiers que leurs méthodes sont bien moins rigoureuse. Mais les archives, une certaine impartialité en se basant sur des faits, en prenant en compte les idéaltypes ( Weber), en établissant une distinction entre motifs et mobiles ( les premiers sont objectifs : idéologiques, politiques, les mouvements de l'Histoire; les seconds sont personnel : les causes particulières à l'homme qui font qu'il agit comme il le fait, Pascal donne deux exemples fameux, comme le nez de Cléopâtre et le sable dans l’urètre de Cromwell...). L'Histoire arrive bien à écrire un " roman vrai", à reconstituer une vie passée avec des faits, je vous conseille l'excellent Comment on écrit l'Histoire? de Paul veyne. Braudel lui même quand il parle des 3 temps de l'Histoire reste sur la même logique, la méthode historique atteint des vérités qui ne sont certes pas absolues, mais qui permettent de mettre en lumière des aspects de chaque civilisation passée, même en exagérant des parties...
Ainsi on a raison de penser que Dunning lorsqu'il parle de la guerre de sécession donne trop d'importance au sud, néanmoins il ne présente pas moins une certaine vérité. Car il ne faut pas oublier, comme le rappelle Hegel que la vérité est historique ( Raison et Histoire, Phénoménologie de l'esprit ), qu'une vérité permet son propre dépassement et son approfondissement : ainsi sur certaines périodes on en arrive à des certitudes sur certains points, qui étaient en débats avant le travail historiographique : sur la révolution, la collaboration ( Paxon par exemple aura en 72 apporté beaucoup d'éclaircissements ! ). Mais dans ce cadre de faits vrais, d'interprétations acceptées, chacun peut toujours se forger sa théorie : ainsi les marxistes et les libéraux, en acceptant les mêmes faits historiques, ont des vues différentes, qui s'enrichissent dans l'historiographie.

La philosophie est peut être moins " évolutionniste" ( ce terme est mal choisit car connoté) mais on peut néanmoins voir que certaines thèses sont désormais incontournables : Platon, Descartes, Kant puis après encore Nietzsche et Freud, Heidegger et Sartre sont des points que l'on peut certes dépasser, mais qui apportent un enrichissement conceptuel indéniable. Chacun prenant appuis sur le précédent pour mieux le dépasser ( ainsi Hegel aurait raison d'une certaine façon).

Pour ce qui est de l'intelligence et la culture je ne sais même pas si l'on peut opposer ces deux choses : l'intelligence subtile et profonde ne peut pas se passer de culture. Mais je suis d'accord sur le danger : quand la culture devient sa fin propre et masque l'intelligence il y'a problème.

Littlewingrunner
Littlewingrunner

Nombre de messages : 3140
Age : 31
Localisation : Région parisienne
Humeur : posée et fatiguée
Date d'inscription : 21/08/2009

Revenir en haut Aller en bas

je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements Empty Re: je m'arrache, me foule, neurones grillés pour une question, créer un sujet, nuit blanche, vomissements

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Page 1 sur 2 1, 2  Suivant

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser