Dieu, l'homme, la philosophie

grumpythedwarf a écrit:Opaline en a besoin.
Chacun son truc.

T'as rien compris, pas grave... De toute façon, ça ne s'explique pas.

Sarugaku nō a écrit:C'est bien ce que je dis.
Et c'est là le but de la recherche.

et la difficulté est là, j'oscille sans cesse entre doute et espoir de l'existence de Dieu, mais je ne peux me résoudre à ne pas croire car la foi réside dans la confiance, c'est très difficile de l'expliquer et extrêmement personnel chacun se fait une image et une idée différente cependant s'il existe il forcement le même pour tous banalité que le dire!

La foi ce n'est pas la confiance. C'est bien plus.

mamyblue a écrit:... la foi réside dans la confiance, c'est très difficile de l'expliquer et extrêmement personnel (...)

La foi est en effet confiance absolue et elle ne s'explique pas car elle est en soi... ou pas.

La foi c'est une espérance plus qu'une confiance... D'ailleurs dans l'absolu on ne peut pas être sur de cette existence divine. J'y crois personnellement, mais rationnellement je suis persuadé que c'est une invention, je suis persuadé que c'est une erreur de l'esprit humain, qui tente d'expliquer ce qu'il ne connait pas. Les philosophes comme Marx ont raison : la religion c'est bel et bien l'opium du peuple, Feuerbach également quand il dit que l'homme fait Dieu en son image, transpose la perfection qu'il voudrait avoir ( qu'il pourrait selon Feuerbach ) sur un être transcendant.

Mais c'est là tout le paradoxe de la foi : croire en quelque chose, espérer quelque chose, qui est totalement contraire à une inclination rationnelle. Et c'est un paradoxe vivant, car il pousse à creuser plus en profondeur ces problèmes métaphysiques et personnels, à découvrir que la raison est une instance qui n'est pas reine sur un trône d'argile. Et on peut ainsi redonner son vrai sens à cette phrase de Pascal : " Le coeur a ses raisons que la raison ignore ".

A ne pas confondre: religion et Dieu.

Littlewingrunner a écrit:La foi c'est une espérance plus qu'une confiance...

La foi est confiance absolue ET espérance.

Prends garde à ce que les grands philosophes que tu "vénères" ne te fassent pas perdre ton âme...

Perdre mon âme; aha, que de discours, j'ai peur des flammes de l'enfer ma pauvre... Je vais me damner, diantre. Par ailleurs si tu as bien lu mon message je ne suis absolument pas contre la foi.

Par ailleurs je ne vois aucune vénération là dedans. Tu deviens étrangement sensible lorsque l'on parle de la foi. D'ailleurs je n'ai pas dit " la foi est une espérance, non une confiance". Et j'aimerais bien un peu plus d'explication qu'une mise en garde dévote...

Hikari, j'ai rappelé cette distinction beaucoup de fois, en effet foi et religion ne sont pas à confondre, crois moi bien, mais en fait cette distinction ne tient que dans certaines situations. Ici la religion comme opium du peuple c'est une attaque envers l'idée de divinité : nous faire croire en un arrière monde c'est un opium, on attaque directement l'idée de Dieu, celle de foi.

Ironises si ça t'amuse mon pauvre, que veux-tu que ça me fasse ?

Bon, ok. On se calme là.
Perle on a pas envie d'être méchant, fais un effort!

Oui en attendant, et plus sérieusement, je n'aime pas ces attaques gratuites, ça me plait moyennement ce genre de discours, à la fois sur les philosophes et sur mon "âme". J'espère sincèrement que c'était une blague de ta part.

Opaline a écrit:

grumpythedwarf a écrit:Opaline en a besoin.
Chacun son truc.

T'as rien compris, pas grave... De toute façon, ça ne s'explique pas.

Eh bien, je comprendrai un jour...peut-être...ou pas.
Pas grave.

Rhoooo.... j'aurais encore mieux fait de la fermer moi...

grumpythedwarf a écrit:

Opaline a écrit:

grumpythedwarf a écrit:Opaline en a besoin.
Chacun son truc.

T'as rien compris, pas grave... De toute façon, ça ne s'explique pas.

Eh bien, je comprendrai un jour...peut-être...ou pas.
Pas grave.

Comme tu dis, pas grave...

Paix aux hommes de bonne volonté.
N'est-ce pas l'essentiel, à tes yeux ?

Et voilà comme les susceptibilités tuent un débat, je comprend que vous préfériez parler des fritures et des saisons après ça !

( c'était une blague, au cas ou )

D'accord avec Grumpy sur son dernier post cela dit.

grumpythedwarf a écrit:Paix aux hommes de bonne volonté.
N'est-ce pas l'essentiel, à tes yeux ?

Très important, en tout cas car tu n'es pas sans savoir que je prône la tolérance et la liberté de pensée.

T'as quoi contre les frites ?
Barbare culinaire !

Moi je mange que les frites que me font mes grands-mères ! ! !
Voilà, puisqu'on change de sujet >.>

C'est même pas belge !

WOUAH! ! ! La Grumpy je serais Violet de Rage!

Littlewingrunner a écrit:C'est même pas belge !

Tu blasphèmes, mécréant !
Je te jette l'anathème (et même davantage)

Je suis outré (en forme d'outre, donc)

"Selon les Belges
L’hebdomadaire belge Pourquoi pas ? a publié en 1985 un article de Christian Souris qui a popularisé une affirmation de l’historien belge, Jo Gérard, selon laquelle les pommes de terre frites auraient existé à la fin du xviie siècle. L’article citait un manuscrit, rédigé en 1781, de l’aïeul de l’historien : « Les habitants de Namur, Andenne et Dinant ont l'usage de pêcher dans la Meuse du menu fretin et de le frire pour en améliorer leur ordinaire, surtout chez les pauvres gens. Mais lorsque le gel saisit les cours d'eau et que la pêche y devient hasardeuse, les habitants découpent des pommes de terre en forme de petits poissons et les passent à la friture comme ceux-ci. Il me revient que cette pratique remonte déjà à plus de cent années. » ce qui donnerait comme date les années 1680.
L’historien belge Pierre Leclercq rappelant, grâce aux travaux de Fernand Pirotte sur la pomme de terre, que celle-ci n'est arrivée dans le Namurois qu'aux alentours de 1735, considère que ces habitants n'ont pu tailler les pommes de terre et les frire qu'à partir de 17397.
L'hypothèse d'une « origine belge » des frites a pourtant séduit de nombreux Belges8 qui n'ont pas pris en considération les conditions de vie des pauvres gens des xviie siècle et xviiie siècle, pour lesquels la graisse nécessaire à la friture constituait un luxe qui devait être rarement à leur portée.
Selon les Français
Les Français soutiennent de leur côté que la frite est née sur les ponts de Paris en 1789 en pleine Révolution française sous l'appellation « pommes Pont-Neuf » quelques années après qu'Antoine Parmentier fit la promotion de la pomme de terre en 1771 Réf concours de l' académie de Besançon. Maurice Edmond Sailland dit Curnonsky (1872-1956), auteur, journaliste, défenseur de la cuisine du terroir et prince des gastronomes cru 1927 a déclaré : « Les pommes de terre frites sont une des plus spirituelles créations du génie parisien ».
Toutefois, dans La Cuisinière républicaine, recueil de recettes de pommes de terre, le premier en langue française, publié en 1794 à Paris, les frites telles qu'on les connaît aujourd'hui ne sont pas citées, alors qu'on y trouve plusieurs recettes, très différentes, de pommes de terre en friture9.
Dès 1830, Paris et Bruxelles raffolent de ces bâtonnets dorés. Même si Thomas Jefferson évoque de sa main déjà les potatoes fried in the French manner avec son annotation « Pommes de terre frites à cru, en petites tranches » tirée de son cuisinier français, les frites apparaissent dans les livres de cuisine populaire en 1813 en Amérique, d'où leur nom de French Fries, pour les Américains et les Canadiens, bien que cette explication soit contestée10, voir aussi le document historique de la main de Thomas Jefferson."

grumpythedwarf a écrit:Il n'y a qu'un seul Dieu, Toutatis ! Par Bellenos !
Et je suis son prophète !
(Si, si , je suis sorti de l'école des prophètes avec une grande distinction)

Je n'en ai jamais douté... jusqu'à hier soir, où j'ai vu une émission sur Raël. C'est décidé, je deviens raélien et je commande illico ma toge blanche pour participer à l'éveil sensuel collectif.
Scara, tu viens avec moi ?????

Littlewingrunner a écrit:Perdre mon âme; aha, que de discours, j'ai peur des flammes de l'enfer ma pauvre... Je vais me damner, diantre.

Là, tu distribues des pénitences, tout comme le font les TJ, les Momos et les cathos-fachos !
Trêve à cette rhétorique, Nath : l'enfer, l'âme déchue, les peines éternelles, la malédiction, c'est bon pour les petits enfants à qui on veut faire peur ou pour les bigots qui n'ont jamais dépassé le stade anal de la religion.
Victor Hugo disait : "il y a deux manières de croire en Dieu ; comme l'âne qui croit au fouet, ou comme la soif qui croit à l'orange".
Voilà qui est bien dit.