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Message par Littlewingrunner Dim 4 Avr - 17:31

Voilà un texte que mon frère a écrit pour le délire, et honnêtement je le trouve particulièrement pas mauvais, bref je le laisse à votre appréciation, c'est carrément loufoque, je trouve qu'il y'a un côté Boris Vian...


Chapitre 4 : Le rêve de Sartre






Le train s’arrêta, J.P était enfin arrivé au pays des rêves,
après cinq longues années de voyage. Il descendit du train en compagnie de Mia,
la jeune demoiselle qui l’avait assommée. Pourquoi était-il avec elle ? Il
ne le savait pas. Il regarda autour de lui, Mia et lui étaient dans la gare de
Neverland. C’était une très belle gare, un sol en or massif, les murs en peau
de rhinocéros, J.P ne pu s’empêcher de penser malgré qu’il ne savait point ou
il était : « Quelle merveille ! ». Ci et là, d’innombrables
arbres tout droit sortir des films de samouraï japonais. Ces arbres ne purent
empêcher à Mia de se rappeler du film japonais qu’elle avait vu la veille, à
l’époque ou elle était encore dans le monde réel, Tabou, c’était un film qui
racontait les péripéties d’un jeune samouraï homosexuel, et ou à la fin, un
samouraï en colère coupait un arbre ressemblant à ceux présent dans la gare en
deux à l’aide de son katana. C’est alors qu’un mystérieux homme, probablement
un contrôleur s’approcha, enleva son casque de chevalier et hurla aux deux
aventuriers : « Passeport, destination, relation que vous entretenez.
Je veux tout savoir !
- Nous n’avons pas de passeport, ni ne savons ou nous sommes et à vrai dire, je
me suis retrouvé ici car cette jeune femme que je ne connais point m’a assommé
à coup de gourdin, dit Jean-Paul
-Je peux tout vous expliquez, cria Mia avec anxiété
-Tout cela mérite éclaircissement, suivez moi, dis l’homme »
Les trois personnages formèrent alors une file indienne, l’homme mystérieux en
tête, suivit de près par Sartre puis de Mia. Ils franchirent la sortie de la
gare, empruntèrent le pont Lorenzo, qui était par ailleurs un arc en ciel et
déboulèrent finalement sur le seuil d’un champignon. L’homme hurla « En
fait je m’appelle Jack, entrez dans le poste, mes collègues et moi allons vous poser
quelques questions. ». Mia rentra la première, peu sûre d’elle, suivie de
près par Sartre qui comme nous le savons était un homme sans peur ni reproche.
L’intérieur du champignon était charmant. On remarquait une cheminé dans
laquelle brulée deux buches, un tableau du président actuel, Jack l’éventreur,
et au milieu de la salle, une table en feuilles de châtaigniers autour duquel
étaient assis Pierre et Paul. Jack pris une chaise en fraise tagada et s’assis
à côté d’eux. Il expliqua alors la situation à ses collègues puis invita les
deux étrangers à s’assoir sur deux chaise en ivoire de tomate
Pierre commença : « Mia, dites nous donc ce que vous savez.
- Eh bien, il faut croire que je suis bien obligé si je ne veux pas finir mes
jours dans un endroit aussi horrible que celui-ci. A vrai dire, j’ai été engagé
par l’Empereur Mitterrand pour assassiner celui qui est maintenant mon
compagnon d’infortune. Hélas, comme vous l’avez deviné, j’ai échouée et Sartre
est encore en vie, je n’ai réussi qu’à l’assommer. Lorsqu’il s’est évanoui, je
me suis prise son bras dans ma putain de gueule et je me suis à mon tour
évanouie. Nous nous sommes donc tout deux retrouvé dans un train en direction
de Neverland, et nous voila maintenant, dit Mia
-Comment tu as essayé de m’assassiner ? Mais pourquoi ? Ba tu me
diras, question bizarrerie je suis servis, en moins d’un mois j’ai rencontré le
Grand Philosophe, Bobe Marlée, Capriseau, alors que une femme aussi moche que
toi eut tenté de m’assassiné ne m’étonne point le moins du monde. Après cela,
je n’aurais plus qu’à devenir écrivains ! , ironisa Jean-Paul
- Restez là, nous allons délibérer dans la salle voisine sur le fait que nous
devons ou non vous accordez la permission de restez ici » dit
nonchalamment Paul. Sur cette phrase, les trois collègues se levèrent presque
simultanément de leurs sièges et sortirent de la salle. L’attente fut longue. Au
bout d’une heure, alors que nos deux héros commencèrent à s’ennuyer, Mia
remarqua sur le rebord de la cheminé une petite sacoche, elle se leva, la prit
et se rassit. Sartre lui demande : « Qu’est ce que cela ?
- Je ne sais pas moi, rétorqua Mia tout en ouvrant la sacoche
- Alors ? dit Jean Paul avec de l’excitation
-Oh mon dieu ! Ce sont des champignons. Quelles crapules, partons d’ici au
plus vite, nos jours sont en danger ! » .


A ces mots la panique
les saisit et ils s’enfuirent vers la porte. Cependant, la porte était fermé à
clé, les trois collègues avaient du prévoir le coup ! Mia essaya
d’enfoncer la porte, la frappait avec sa main au point de saigner, mais se fut
sans succès. Quand à lui, Jean Paul restait pensif, il se demandait quelle
était le but de toutes ces péripéties que le Grand Philosophe lui faisait
endurer. Contrairement à Mia qui paniquait car il faut le dire, elle était
stupide, il chercha une solution logique et regarda autour de lui quels outils
pouvaient lui être utile. Il devait faire vite, les vilains pouvaient revenir
d’un instant à l’autre. Il remarqua sous la chaise ou Pierre était auparavant
assis, une graine d’haricot, il l’a prit et eut une révélation. Et si ce haricot
était un haricot magique ? Après tout cela collait, un des gardiens
s’appelait Jack. Il planta alors le haricot avec l’espoir que celui grandirait
et détruirait par conséquent la salle. Son regard était intense et plein
d’espoir, c’est alors qu’il se rappela que dans le roman réaliste de Zola,
l’haricot mettait un jour à grandir, il frappa alors par colère la table en
feuille de châtaigniers. Il dit alors à Mia : « Calme toi si
dans un jour ils ne se sont pas encore servit des champignons nous sommes sauvés !
J’ai planté un haricot magique dans le sol.
-Mais . . . . . Mais, demain nous serrons morts ! ». Ce que nos deux
aventuriers ne savaient pas, c’était que Jean Paul était le héros et que par
conséquent il ne mourait pas avant la fin de son histoire. Or son histoire
était encore longue ! C’est à ce moment la que les trois collègues
surgirent, ils enlevèrent leurs masques, et devant les yeux ébahit de nos héros
apparurent trois pingouins. Mia hurla
alors d’horreur. Des pingouins, elle en avait déjà rencontré lors d’une mission
secrète, après un combat intense elle avait réussi s’échapper de leurs terrible griffes. Mais
cette fois, elle n’avait que très peu d’espoir. Après tout, ils possédaient des
champignons. Mia fut arrêté dans ses pensés par un des pingouins, en effet ni
elle, ni Jean Paul n’étaient maintenant capables de les différencier les uns
des autres. Le pingouin dit : « nous vous avons bien eut Ah!
Ah! Ah ! Maintenant vous allez mourir ». Il saisit alors avec de la
hâte la sacoche de champignons qui était dans les mains de la jeune femme, puis
en sorti un. Mia était tellement paniquée qu’elle était presque inconsciente.
Quant à lui, Sartre était toujours calme et plein d’espoir. Les deux autres
pingouins saisirent la jeune fille et lui firent avaler un champignon. La jeune
fille hurla de toutes les forces qui lui restaient et s’agenouilla d’horreur,
son visage déformé par l’horreur ressemblait maintenant au visage de l’Empereur
dans Star Wars épisode 6, lors du combat final entre Dark Vador et Luck. Mia
savait que les effets du champignon allaient bientôt arriver, elle repensa à
tout sa vie de A à Z, lorsqu’elle apprit à faire du vélo, lorsqu’elle coucha
avec son premier amoureux, lorsqu’elle acheta sa première Renault, tout y
passa, jusqu’à la date du jour même. Les pingouins étaient alors hilares,
affalés par terre tellement la scène était hilarante. Même Jean Paul eut du mal
à se retenir de rire car il dut avouer que la scène n’était pas dénudée de
cocasserie. Sous les yeux de Sartre, les champignons firent leurs premiers effets,
les mains de Mia devenaient lianes. Mia
savait que c’était le commencement de la fin, elle hurla dans un dernier cri de
douleur. Cependant, au moment fatidique, L’haricot magique fit sont effet, plus
tôt que prévu certes. Il avait dût sentir la douleur de Mia et voulu lui
épargner le regard moqueur des autres. Après tout, même si il n’était qu’un
haricot, il avait lui aussi une vie, une femme, des enfants. A la vu du haricot
prenant sa forme, les trois pingouins partirent en courant, quant à Jean Paul
et Mia, ils furent transportés sur le haricot magique vers le ciel . . . . .
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Message par loli Mar 8 Juin - 23:45

Je n'aime pas voir des sujets sans post Un texte original Icon_cry ...je trouve ça triste
la prochaine fois je lirais ton texte et je laisserais un mot... Un texte original Icon_bounce
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Message par Littlewingrunner Mer 9 Juin - 0:01

Ce n'est pas mon texte Smile A ta guise Smile
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