Le dernier film que vous avez vu

Vous pouvez parler ici du dernier film que vous avez vu et nous dire ce que vous en avez pensé.

"l' âge de glace 3" ; pour passer un moment désopilant où l' on rit de bon coeur et cela fait un bien fou !

il parait qu'il est bien, je me laisserai peut être tenter !

Je viens de voir l'Enfer du devoir, de William Friedkin, un film assez intéressant bien que très prévisible. Une réalisation soignée et de bons acteurs mais un sujet assez classique finalement.

J'ai récemment accompagné mes gamins voir "Terminator 4". Par pur dévouement parental, bien sur...

bien sur... c'est fout ce qu'on doit faire quand on est père...

J'ai revu OSS117: Rio ne répond plus, il y a quelques jours, je suis toujours aussi fan
Personnelement je n'ai pas trop aimé le dernier age de glace, j'ai vraiment été déçu, pas grand chose de neuf par rapport aux deux précédents. Les derniers que j'ai vraiment adoré en salle sont Walkyrie et Gran Torino

Je n'ai pas vu l'age de glace, mais tout le monde autours de moi m'en a dit beaucoup de bien. Demain, j'irai voir Up, le dernier Pixar, en relief. On verra ce que ça donne ! Je n'ai jamais vu de film en relief encore.

Le relief c'est vraiment une chouette expérience (j'ai vu Monstres vs Aliens et Coraline) mais les réalisateurs se sentent forcés de mettre des scènes qui sont estampillées "là, je justifie le surcoût des lunettes". Cela sera sans doute une critique récurrente lorsque la majorité des films sortiront en 3D.

Bonjour à tous

Pour ma part, ce qui justifie (ou pas) mon retard d'arrivée sur ce forum, c'est que je suis allé voir deux films hier... aux antipodes l'un de l'autre : Brüno et La Haut.
Que dis-je "aux antipodes"... ils sont pas dans la même galaxie !

Bruno.
Je dois dire que j'ai beaucoup aimé le précédent film de Sacha Baron Cohen, Borat. C'était un film à plusieurs sens de lecture, qui rentrait dans le lard de certains principes biens posés, dont la religion, et s'en était jubilatoire.
Ici, on reprend le même principe. Un personnage, non pas reporter mais "journaliste" fashion victim, rêve de gloire, et cherche à devenir connu...
On rencontre donc des personnages hauts en couleurs, et on se marre bien. Bruno ne joue vraiment pas dans la finesse par contre, on sort l'artillerie lourde.
La mode, la télévision, l'armée, les anti gay, un peu de religion quand même, sont certains des mondes qui s'en prennent plein la gueule ici. On est souvent à la frontière de l'indécence. On la traverse dans certaines séquences. Mais connaissant un peu le but de ce film, à prendre au 100è degré, on accepte et on rigole. Bien des gens seraient choqués de voir ce film, mais, personnellement, je suis content que ce genre de film "grande gueule" existe, ça montre qu'on peut encore dire des choses. Que tout n'est pas normé, controlé, dicté. Il ne faut, par contre, pas en abuser. Mais cette critique doit être présente, et fera peut être l'objet de débats sur prise de bec.

Là haut.
Je l'attendais avec une impatience sans limites, tel un enfant attendant désespérément Noël à seulement quelques jours de l'ouverture des cadeaux. Chaque année, le film de Pixar est un grand moment pour moi. Je suis de la génération Toy Story.
Des mois à l'avance je suis à l'affût de ce qui est dit, sans vouloir me spoiler le film, mais pour voir si la politique de Pixar tient toujours la route. Ainsi quand un grand journal américain annonce que Up sera une catastrophe pour Pixar car le film se veut plus adulte, touchant des problèmes que l'animation n'aborde pas d'habitude et qui risquent de déstabiliser le public, c'est bon, je sais que Pixar va encore frapper fort (Ce journal à récemment présenté ses excuses pour s'être, bien sûr, bien planté).
Et voilà, je me retrouve au cinéma, les lunettes de relief sur le nez.
Je passe la critique de cette animation odieuse qui nous présente comment utiliser nos lunettes au début. Aucun goût, mauvaise 3D, mauvaise anim, et mauvais relief !
Après le court métrage Partly Cloudy, que j'avais déjà vu, dont je ne suis pas grand fan, malgré sa gentille histoire sur les valeurs amicales, le film commence enfin.
Ca y est, tant d'attente récompensée (oui, toutes les critiques du films étaient déjà tombée depuis des semaines, entre les avants première et la présence du film à l'étranger). Et la magie est toujours là !
Je ne ferai pas de spoiler, mais que dire donc? La narration est maîtrisée. Je ne suis pas un grand sensible pour ça, mais de nombreuses larmes ont coulées dans la salle. Et ce très vite dans le film. Ce qui, est déjà un sacré exploit pour un film d'animation (l'animation s'oriente la plupart du temps vers des thématiques comiques -sans tout le temps y arriver-). Puis qu'est ce qu'on rigole aussi. Le duo des deux personnages principaux, un vieillard carré, et un scout tout rondouillard, est aussi bon que le duo Buzz/Woody dans Toy Story. Des Lorel et Hardy, mais plus finement pensés.
Chaque personnage à sa vie, ses problèmes, ses rêves, et tout est très clair pour le spectateur. Et pourtant le film est assez court (1h35).
Le film aborde de nombreuses thématiques : la solitude (parentale et sentimentale), l'amitié, la relation jeunesse/vieillesse, la place de l'homme dans notre système socio-économique (avec les agents immobiliers, et la place de la vieillesse dans notre monde), le voyage, les promesses et les rêves, la vengeance, etc.
Techniquement le relief est relativement simple. Ici, le réalisateur n'a pas la volonté d'en mettre plein les yeux. C'est joli, c'est beau.. mais on peut s'en passer. On dit que Pixar n'a pas fait ce film POUR le relief, mais qu'ils ont expérimenté leur chaîne de production, pour préparer leur premier film qui sera fait pour le relief : toy story 3.
L'animation est géniale. On se retrouve avec des séquences entières qui ne jouent QUE sur l'animation, sans dialogues, et ça fait plaisir.
Le rendu... c'est du Pixar, que dire de plus? Personne en animation n'arrive à obtenir les subtilités et le soucis de qualité que les gens de pixar apportent à leurs film. Personne. Oui j'ai une grande admiration pour cette société, mais je crois qu'ils se donnent les moyens de bien faire les choses et ils le méritent. Et je ne parle pas du fait qu'ils aient plus d'argent que les français... Ils ont autant d'argent que d'autres gros studios américains (Dreamworks? ...), mais ils ne jouent clairement pas dans la même cour. Pixar joue seul, et définissent l'animation moderne, et ce depuis Luxo Jr il y a 20 ans.
Je retournerai le voir, sans relief, probablement en français car les traductions d'animation sont souvent bien travaillées, et c'est le non moins célèbre Aznavour qui prête sa voix au film.
Pour le positionner, je l'ai préféré a Wall-e, mais je reste un fan inconditionnel de toy story. Mais l'avez sans doute compris.
Avez vous remarqué, d'ailleurs, que quasiment personne ne fait le même classement de préférence dans les films de pixar ?
Bref... à voir absolument !

J'ai vu également "Là-haut", hier soir et je me suis fortement ennuyée. Ce film m'a paru très très long malgré les 1h35 que je découvre dans ton post, Flav.
Pour moi, la 3D n'apporte rien à l'histoire et la 2D me manque cruellement. Le relief m'est apparu comme étant encore plus un gadget, loin d'être à la hauteur du système de lunettes inadapté à tous les visages et les maux de tête que ces lunettes m'ont causée.
D'autre part, Pixar me pose un problème de fond: l'histoire est beaucoup trop simpliste et ne comporte pas suffisamment d'intérêt pour un adulte (mis à part des messages toujours plein de bonnes intentions qui finissent par me fatiguer), mais la projection n'est pas adaptée aux enfants (lunettes grand format).
Ceci dit, j'approuve la supériorité de "Là-haut" sur "Wall-E"...

Amie des lettres, votre avis soulève quelques questions intéressantes !
Je passerai rapidement sur la question des enfants face à un film en relief. Je dois admettre ne m'être pas posé la question, mais c'est vrai que c'est très problématique que les lunettes soient beaucoup trop grandes. Ca rappelle qu'il faut se mettre à la place des enfants, pas que moralement, mais physiquement aussi. J'en parlerai à quelques amis stéréographes que j'ai, voir si les fabricants ont prévu des choses ou pas.
L'expérience du relief est particulière. Il y a une habitude à prendre, et c'est vrai que ça peut être très dérangeant et fatiguant. Comme je l'ai dit, ici j'ai trouvé ce relief très simple, travaillant surtout sur la profondeur, avec peu ou pas d'effets de jaillissement, ce qui est bien plus reposant qu'un film comme "Monstres vs Aliens".

La question de la 2D est intéressante à plusieurs niveaux. D'abord je dois dire que j'ai trouvé que c'était probablement le plus 2D des Pixar pour moi. Pour le traitement cinématographique par exemple. De nombreux plans sont très frontaux, caméra fixe, montrant souvent la solitude d'un personnage (dans un décors comme la maison ou les plaines d'amérique du sud). Pour l'animation aussi, largement mise en avant dans un comique visuel sensible. Pour la stylisation des personnages, d'une belle 3D mais de lignes très simples : ils n'ont pas d'orifice pour le nez ou les oreilles par exemple (on ne le remarque quasiment pas). Ca m'a frappé lors d'un plan ou la femme de Karl, face au vent, hume l'air. J'ai trouvé ce plan très beau mais à la fin je me suis dit : mais... elle n'a pas de quoi respirer ! Et pourtant je l'ai vu respirer !
Voilà typiquement quelque chose qui s'inscrit fortement dans la tradition 2D.

Je pense que Pixar, et plus globalement d'autres studios, cherchent à cacher de plus en plus que c'est de la 3D en faisant oublier qu'on peut y faire n'importe quoi (notamment pour les mouvements de caméras), et en faisant que la technique (tendant à devenir invisible, je crois) ou l'aspect visuel ne soit pas un frein pour le public.

Après, il faut dire que ce n'est pas spécialement un domaine dans lequel Pixar veuille se rendre, la 2D. Ce n'est ni leur métier, ni leur volonté.
La 2D nous manque, et je vous rejoins sur ce point. La 3D à commis l'erreur d'eclipser un peu trop la 2D avec un spéculation complètement faussée des producteurs : produire plus vite et moins cher (ce qui est une aberration). Pourtant la 2D est encore très forte. D'abord parce que la 3D ne serait rien sans la 2D, est les animateurs 3D vouent souvent un culte pour l'animation 2D, d'autant plus s'ils ils viennent du dessin (ce qui est encore souvent le cas). Je suis passé par les Gobelins, école d'animation, et les élèves sont formé à la 2D. Et nombre d'entre eux se retrouvent dans des gros studios comme pixar, car savoir animer en 2D permet de passer facilement à la 3D (bien plus que l'inverse). Au point qu'un jeune animateur 3D venu de la 2D donnera parfois plus de vie à un personnage que quelqu'un qui n'a connu que la 3D.
Ensuite parce que la 2D possède une sensibilité, visuelle et narrative, bien plus "facile" à atteindre que la 3D. Beaucoup de petits studios font encore de la 2D pour cette raison. Et certains grands studios ont compris leur erreurs et se remettent à la 2D, comme Disney. Il faut noter, ironie du sort, que ce retour de Disney (qui avait fermé ses studios 2D juste après Tarzan suite aux incroyables succès de Pixar) s'est fait à partir du moment ou John Lasseter, "patron" de Pixar, est entré à la direction artistique de Disney et à imposé la réouverture des studios 2D.

Il y a deux films que je pourrais voir en boucle en animation : "Toy Story" donc, et "Le Roi et l'Oiseau". Je suis un grand fan de biens d'autres films 2D (de nombreux Disney bien entendu, certains Amblin (pré Dreamworks), les films du studio Ghibli évidemment, des Tex Avery, et bien d'autres).
Pour moi, la 2D et la 3D est très complémentaire. Ou doit l'être : c'est à dire que l'animation ne doit pas être partagé en deux, juste pour l'utilisation d'outils différents. Il n'y a que la narration qui doit compter.


Voilà le dernier problème soulevé, l'histoire. Je ne suis pas d'accord avec vous sur l'intérêt de ce film pour un adulte. J'étais dans une projection tard le soir, et la salle devait être remplie quasiment intégralement d'adultes (le film étant en VO, à 22h, mais dans la grande salle, qui était remplie jusqu'au premier rang). Je pense, pour avoir vu certains films d'animation plusieurs fois, avec et sans enfants, qu'on tire moins facilement un rire franc d'un adulte (sauf sur les blagues lourdes) que d'un enfant. Et hier ça rigolait plutôt bien.
D'autres pixar sont plus niais que celui ci, comme "Cars" ou "1001 pattes".
La trame générale est simple, et peut se résumer en une ligne, effectivement. Mais ne trouvez vous pas que les relations entre les personnages et les thèmes sont bien plus adultes que d'autres films d'animation?
Après oui... il y a quelques valeurs américaines, dont on se passerait bien, mais je trouve qu'elles restent assez bien en retrait.

Sans distinctions critiques, mon dernier film vu est "Tron" de Steven Lisberger, avec le génial Jeff Bridges (très jeune mais déjà tout en machoire) et Bruce Boxleitner (l'un des "deux font la paire", pour les amateurs de séries). Pour beaucoup, il s'agit d'un film culte car il utilise des techniques d'imageries informatiques alors totalement originales.

Pour être totalement franc, j'ai trouvé le film assez mauvais pour m'être demandé si j'allais ou non m'arrêter aux dix premières minutes. Soit le film est précurseur, mais dire qu'il est "totalement génial" seulement parce qu'il utilise des images de synthèse uniques pour l'époque équivaudrait à dire que Clément Ader a inventé le premier avion de ligne parce que son "Eole" a décollé de 20 cm au dessus du sol.

Ces images de synthèse sont sans grande originalité (avec le peu de moyens disponibles par l'équipe à l'époque, un vaisseau se résume à un amas d'une dizaine de pixels) et n'apporte finalement pas grand chose à l'histoire, cette dernière étant d'ailleurs totalement sans intérêt.

La réalisation est inexistante (Lisberger donne parfois l'impression d'avoir intensément réfléchi à la position parfaite de son plan, pour le décaller ensuite de quelques degrés et manquer totalement le cadre; au moins, ça donne un certain style), et la direction d'acteurs absolument affreuse; on croirait de mauvais acteurs lors d'une répétition de théâtre.

Le seul intérêt du film est Jeff Bridges, acteur adorable, et Cindy Morgan, mauvaise mais très jolie dans ce film.

Je ne déconseillerai jamais le visionnement d'un film, tout dépend des goûts et même un mauvais film peut vous être agréable avec les bonnes personnes; "Tron" est donc intéressant pour qui veut voir les prémisses de l'ère numérique, et des idées reçues que l'on avait sur lui dans les années 80.

Tron est effectivement un film très important dans l'histoire du cinéma car il est le premier à employer des images de synthèse. Plus tard, un autre film, The Last Starfighter, a eu la particularité d'utiliser des images de synthèse pour quelque chose qui devait etre réaliste.
La aussi, le film reste un film de série B, mais souvent, les effets spéciaux ont progressé sur des films au scénario douteux...

J'ai revu avec plaisir "The Getaway" (1973) de Sam Peckinpah, avec Steve McQueen et la délicieuse Ali McGraw. Le scénario y est fort simple et je vous le rappelle; un détenu, 'Doc' McCoy, bénéficie d'une libération conditionnelle grâce à un puissant homme d'affaire en vue de réaliser un braquage de banque. Ce dernier ne se déroule pas aussi bien que prévu et McCoy est obligé de fuir la police ainsi que ses anciens commanditaires en compagnie de sa femme.

Ce synopsis ne peut évidemment qu'être injuste envers le talent narratif de Peckinpah qui, en seulement quelques minutes, traduit l'insoutenabilité de l'incarcération et de la folie qu'elle engrange, avant de filmer avec une grande intensité le braquage en question pour enfin développer, entre deux batailles rangées contre la police et les gangsters, une belle histoire d'amour entre un homme et sa femme. C'est donc un film vraiment "plein"; de rebondissements, d'action, de passions. Durant toute la durée de leur fuite, l'atmosphère rappelle celle de "Public Ennemies" de Michael Mann où Johnny Depp incarne John Dillinger - d'ailleurs évoqué dans "The Gateway" - qui n'hésite pas à passer tranquillement parmi de nombreux policiers, voir même de leur parler alors qu'il est intensément recherché. Steve McQueen incarne avec merveille cette douce décontraction proche de la torpeur alors que sa vie est en jeu.

Ma scène favorite reste celle où McCoy, se rendant chez un vendeur d'auto-radios, se rend compte qu'il est recherché par les forces de l'ordre et que le gérant de l'établissement l'a parfaitement reconnu. Alors, paisiblement et fatalement, il sort du magasin, traverse la rue pour se rendre chez un armurier chez lequel il achète un fusil-à-pompe - pendant que les sirènes de la police commencent à retentir à travers la ville - sort et ouvre le feu contre ses premiers assaillants. Alors qu'il parvient à les neutraliser, il fuit les lieux avec sa femme, abandonnent leur voiture à seulement quelques mètres du centre-ville et prennent tranquillement le car... qui repasse au pas sur les lieux mêmes de la fusillade envahi par la police, avant de disparaître.

Le dernier film que j'ai vu ce fut "la haut!" en relief. C'est un film sympa, agréable et gentil. Le relief apporte une profondeur visuelle parfois assez bluffante. j'attends de voir ce que ça donne sur un film avec des acteurs en chair et en os, j'irai donc me précipiter voir "destination finale 4" qui devrait être moins gentil.

Volt a écrit:J'ai revu avec plaisir "The Gateway" (1973) de Sam Peckinpah, avec Steve McQueen et la délicieuse Ali McGraw.

Attention à la dyslexie c'est "The GETAWAY".

J'adore ce film aussi (il faut éviter son remake débile), mais ma scène favorite, c'est quand McQueen arrête sa voiture et fout des baffes à Ali McGraw.



Dans un récent documentaire sur McQueen, ils ont révélé que pour cette scène, Sam Peckinpah a dit à McQueen :
- Tu vas lui foutre des baffes. J'te préviens : elle n'est pas au courant qu'elle doit s'en prendre...

C'est pour ça que la scène est trés réaliste : la pauvre Ali McGraw se prend des baffes sans avertissement, mais comme c'est Steve McQueen, elle n'ose rien dire. Exactement le genre de rapport entre le personnage de McCoy et sa femme.

(PS : signalons qu'à la suite de ce film, Steve McQueen et Ali McGraw se sont mariés. Ce qui rend, là encore, le couple trés crédible.)

...

Quelle drole d'idée d'avoir comme passage préféré d'un film une scène de gifle !
Je ne connais pas ce film, ni l'original, ni le remake.

GrattePoil a écrit:Quelle drole d'idée d'avoir comme passage préféré d'un film une scène de gifle !

Oui, surtout dans un film d'action où on se tire dessus avec des fusils à pompe et des colt Magnum ! hihi !

Mais sur le plan des sentiments, c'est le moment le plus fort du film : La fille annonce au mec qu'elle a couché avec le directeur de la prison pour le faire libérer.

Tu imagines le dilemme pour le mec ? Sa jalousie se téléscope avec sa reconnaissance pour avoir été sorti de prison ! Il la baffe et pourtant il lui dit merci. Trés fort.

...

Interesting ! J'aime beaucoup Steve McQueen, même si c'est avec un colt et des santiags que je le trouve le plus performant.

Nous venons de voir The Reader. C'est un très bon film, une très belle histoire. Je vous le recommande vivement.

Moi le dernier film vu au ciné c'est Le prohète de Jacques Audiard , un chef d'oeuvre du 7ème art. Je vous le conseille , l'histoire ets prenante et instructive.
En film cela reste l'irremplacable Seigneurs des Anneaux! Je ne peux m'empecher de me regarder les trois versions longues dans la journée !

Je dernier film que j'ai vu, .... C'est un DVD que m'a prêté mon fils "DOLORES CLAIRBORNE", avec Kathy Bates (Oscarisée) et Jennifer Jason Leigh - film de Taylor KACKFORD (que je je connaissais pas).... Film d'une densité psychologique formidable, il faut dire qu'il a été tiré d'un roman de Stéphen KING...Il y a un suspens assez glauque, dans une lande brumeuse....Une histoire de mémoire, de faits enfouis, mais oh combien destructeurs. On sort un peu vidé de ce récit..

Le dernier film que j'ai vu remonte à au moins vingt ans.
Je ne suis pas cinéphile pour un sou.
La tele, pareil. Je refuse de m'abêtir davantage.
A part Arte et la BBC, le reste m'indiffère.