Re: Vos pires bétises de jeunesse

par Silky Velvet Jeu 27 Aoû - 19:26

une des miennes consistait à aller à la pêche au caca de chien, on l'emballait proprement dans du journal...
Ensuite, on placait ca sur le pas de la porte des pensionnés, on faisait flamber le journal et on frappait comme des dingues à la porte....
On courrait se cacher derrière un buisson et ensuite on entendait les coups de savate sur la pierre bleue pour éteindre le papier journal...
Les pauvres, fallait ensuite récurer ses pantoufles Twisted Evil

Une autre fois, on espionnait le voisin qui rentrait tous les soirs un peu bourré...nous avons profité un soir que nous étions plusieurs pour deplacer sa voiture (je précise, une suzuki Alto ancien modèle) pour la mettre ailleurs et la placer perpendiculairement à la rue....(sans risque d'accident possible évidemment!!)
A voir la tête des voisins le lendemain matin, on a bien ri !!

par **Littlewingrunner** Jeu 27 Aoû - 19:48

Aha Samson, j'éspère pas. Je n'ai pas sa stature ni sa foi!

par Burro Mar 1 Sep - 0:59

Les pires bêtises de jeunesse, je ne préfère pas trop m'étendre, n'étant pas fier du tout. Toutefois, ça n'a pas été dans le sens vandalisme comme incendier une voiture quand même.

Sinon, avec un copain : lorsqu'il venait dormir chez moi, on sortait la nuit en ville, et on prenait les poubelles et on les interchangeait avec les autres rues. Lorsque parfois, on ne prenait pas quelques poubelles pour les planquer dans un fossé. Résultat, de nombreuses personnes retrouvaient devant chez elles trois poubelles et aucune à leur nom, d'autres n'en avaient pas. Bref, un sacré bazar. Quand on est jeunes, on est parfois très stupides.

Alors que si je constatais des jeunes le faire aujourd'hui, je serais capable de m'énerver après. Comme quoi, on a parfois une mémoire sélective et on n'est pas mieux parfois.

par Opaline Mar 1 Sep - 16:47

holàlà vous aviez de l' audace, quand même ! Fillette, je n' aurais jamais osé faire ce genre de bêtises...

Je me souviens quand même que lorsque j' étais élève à l' Institut Privé Rue Monsieur à Paris, (j' avais alors 17 ans), établissement soi-disant pour les jeunes filles de bonne famille, (tu parles !) je faisais pas mal la sotte avec mon amie Emilie Potocki et nous avions trouvé un escalier dérobé, bien évidemment interdit au public, qui nous avait permis de monter en catimini sur les toits du Bonmarché ou Beaumarché, je ne me souviens plus du nom exact de ce grand magasin parisien... Vue imprenable sur Paris ! Nous étions ravies d' avoir bravé l' interdit, (ce qui donne du piquant il faut bien le reconnaître à la situation vécue), avec ce délicieux petit battement au coeur de frousse à l' idée d' être découvertes par un vigile !

Bon d' accord ce n' était pas une grosse bêtise, mais quand même !

par Contenu sponsorisé