Là, maintenant, je me dis...

Medea a écrit:nous avons également mangé cigales et langoustes.

Bouffer des langoustes, passe encore mais... des cigales ???

Pauvres petites cigales qui plus jamais, plus jamais ne chanteront gaiement dans les vertes prairies et les grandes forêts !

Ouais, bizarre ! Des cigales ! Quelles moeurs, ces Corses !

Ah là là, quels ignares vous faites !!

Spoiler:

La cigale est aussi le nom d'un crustacé
http://www.supertoinette.com/fiche-cuisine/898/cigale-de-mer.html

Que les vacances avant la Khâgne ça donne une frénésie de lecture, ou comment se débattre avec Schopenhauer, Kant, Hegel, Strauss et consorts pendant des heures... Heureusement qu'une bonne soirée de temps en temps remet la machine en marche :p

Littlewingrunner a écrit:Que les vacances avant la Khâgne ça donne une frénésie de lecture, ou comment se débattre avec Schopenhauer, Kant, Hegel, Strauss et consorts pendant des heures... Heureusement qu'une bonne soirée de temps en temps remet la machine en marche :p

Je suis en train de lire la Démocratie de Tocqueville. Bien trop négligé, cet ouvrage, il mériterait une place de choix en philo...

C'est même l'ouvrage de référence du roi des belges.

grumpythedwarf a écrit:C'est même l'ouvrage de référence du roi des belges.

Ah, tiens ! J'ignorais. Tant mieux, c'est un monarque de bon goût...

Il l'a sa place de choix, il était au programme de l'hypokhâgne en Histoire et en Philo. Tocqueville et Lord Acton sont deux grandes références de philosophie politique, nullement négligés ( Léo Strauss comme Hayek ne tarissent pas d'éloge sur eux).

Tant mieux ! Je suis bien content qu'on leur rende la justice qui leur est due.

Que la semaine recommence, et qu'après ce pont des 21 et 22 juillet, les vacances sont bien finies
Un grand bonjour à tous

Bonjour à toi, Medea. Les vacances n'en sont même pas à leur moitié : il y a encore tout le mois d'août.

Bonjour à tous! hello Globouille j'espère que tu trouves dans un lieu de villégiature où le temps est plus propice, ici, nous sommes en septembre quel blues.
Que faisiez-vous aux temps chauds, dit-elle.
C'était au temps où Bruxelle chantait, c'était au temps du cinéma muet !!!!!!

Ah, versatilité du climat atlantique !
L'Andalousie est partagée entre le climat méditerranéen et le climat sub-tropical. Le climat atlantique n'exerce d'influence qu'au fort de l'hiver. Mais ne nous plaignons pas des étés pourris : ici, les gens souffrent de sécheresse toute l'année. Almeria, au sud-est, totalise difficilement 200 mm par an. C'est dire...

200 mm ?
C'est ce que je totalise toute l'année...

De whisky ? Pas terrible, faut faire un effort...

Meuh non.
La longueur de mon instrument (flûte à un trou)

Vantard !
D'ailleurs, ce n'est pas la grosseur du stylo qui fait le génie de l'écrivain.

"Il pleut il mouilleeeeee
C'est la fêt' à la grenouilleeeeee
L'eau tombe à sooooooooeau
C'est la fêt' à l'escargot"

L'est zolie ma sanson ?

Voui !
Zolie sanson.
Toi, tu ne bosses pas, on dirait...

Globouille a écrit:Vantard !
D'ailleurs, ce n'est pas la grosseur du stylo qui fait le génie de l'écrivain.

Tu as une plume d'oie ? (poils au foie)

Une plume de vautour, en bon béarnais montagnard !

Globouille a écrit:Vantard !
D'ailleurs, ce n'est pas la grosseur du stylo qui fait le génie de l'écrivain.

Et c'est ceux qui en parlent le plus qui n'en écrivent jamais ?

Oui, nous tirerons raison des plumitifs, nous n'aurons cesse de leur faire rendre gorge, nous les confondrons dans leurs propres contradictions, nous les noierons dans un océan d'opprobre ! Par Toutatis, comme dirait certain Belge !

Bah tu sais, l'important est que le ciel ne nous tombe pas sur la tête.
Dis, Glo, tu as toujours écrit ? déjà tout loupinet ? tu écrivais quoi ?

Oui, Medea, depuis ma plus tendre enfance j'ai toujours été la main double, une pour la plume, l'autre pour le clavier. C'étaient mes deux passions. J'écrivais des aventures terribles d'enfants qui devaient se tirer des pattes d'un méchant bûcheron solitaire et poilu qui habitait au coeur d'une forêt où les enfants n'osaient jamais aller, parce qu'ils y disparaissaient mystérieusement. Un jour de mes dix ans que mon copain Denis était à la maison, je lui avais raconté mon histoire et il n'avait pu fermer l'oeil, il voyait la silhouette du bûcheron se profiler dans l'embrasure de la fenêtre. Du coup, on a dormi ensemble en se tenant la main, tellement on avait la trouille.